Ceci est une newsletter illustrée, envoyée à mes abonné·es le 25 avril 2025.

Environ une à deux fois par semaine, j’envoie par email mon meilleur contenu avec des outils pratiques et des partages personnels pour accueillir ses émotions, apaiser ses peurs et retrouver plus de sérénité et d’amour en soi – et toujours avec les petits bonhommes !
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J’ai beaucoup stressé ces 15 derniers jours.

Et je n’ai presque pas utilisé mes outils de régulation des émotions…
J’ai pratiqué une fois la libération émotionnelle, qui consiste à laisser se dérouler l’émotion en étant attentive aux sensations physiques jusqu’à ce que l’émotion s’apaise. Mais c’était pour un sujet qui n’avait rien à voir.
Je voulais méditer, je n’ai pas réussi.
Et alors que j’avais réduit le sucre à deux ou trois desserts par semaine, j’ai mangé des desserts quasiment tous les jours. (Je reparlerai du sucre dans de futures newsletters ou vidéos car ça a été un sujet prédominant pour moi en 2024).
Pourtant, en temps normal, j’ai des pratiques de bien-être quotidiennes. Je teste, j’expérimente et je pratique tous les outils que je te partage ensuite ici.
(D’ailleurs, au sujet de mes routines quotidiennes absolument parfaites (faux !), tu peux aller voir cette vidéo si tu as tendance à culpabiliser de ne pas en faire assez ou si tu compares tes routines à ce que tu vois sur les réseaux sociaux.)
Mais là, non. Pas envie.
Donc plutôt que de me forcer ou de me dire que je ne faisais pas ce qu’il fallait pour aller mieux, j’ai décidé d’être douce avec moi-même et de me ficher la paix.

Il faut dire aussi que le stress que je ressentais était en rapport avec la situation présente. C’est un indice important.

Quand nos émotions sont disproportionnées par rapport à la situation réelle, il y a très probablement des blessures du passé qui sont réactivées, et alors la libération émotionnelle est vraiment utile (ou tout autre méthode qui va apaiser notre système nerveux).

J’ai donc eu l’impression que mon stress était à peu près proportionné à ma situation, même si j’aurais préféré être plus apaisée (je pense que c’est possible aussi).
La semaine dernière j’ai passé des examens médicaux. Le but était de vérifier que tout allait bien après mon opération fin décembre… et surtout de vérifier l’absence de métastase. (J’expliquais dans cette newsletter ce qui m’est arrivé : un cancer).
Il y a un risque de métastase suffisamment important pour justifier un suivi rapproché.

L’attente des résultats… ça c’était dur.
Heureusement, tout va bien, ouf !

On va continuer à surveiller.
Pendant cette période d’examens, ce qui m’a le plus aidée, encore une fois, c’est la spiritualité. C’est prendre du recul sur mon expérience de personne incarnée. C’est lâcher prise, puisque de toute façon je ne peux pas contrôler les résultats. C’est faire confiance, à Dieu, à la Vie.
Je n’ai pas cherché à rester positive à tout prix en me disant que les résultats seront forcément bons.
J’ai plutôt cherché à garder confiance que quoi qu’il arrive, je serai capable de traverser les interventions médicales, en étant soutenue par mon entourage et par mes guides / Dieu / la Vie.
Bref, tout ce stress en plus d’une alimentation moins saine que d’habitude, je suis fatiguée…
Le message que je voulais transmettre aujourd’hui c’est de ne pas culpabiliser quand on a l’impression qu’on pourrait faire mieux, et encore mieux, et toujours mieux… Alors qu’on fait déjà de notre mieux.
Non, je ne fais pas « tout bien » alors que c’est mon métier de libérer les charges émotionnelles.
J’avais toujours cru que le jour où j’aurais une maladie grave, je ferais TOUT ce qu’il faut pour m’en sortir, j’adopterais une alimentation impeccable, je méditerais et ferais des visualisations tous les jours pour favoriser la guérison…
J’ai clairement amélioré mon alimentation, mais elle n’est pas parfaite tous les jours, et heureusement. J’ai fait beaucoup, je me suis fait accompagner. Mais je n’ai pas fait « tout bien » comme je l’avais imaginé.
J’ai simplement fait de mon mieux, et c’était très bien comme ça.
Conclusion : ne pas s’en vouloir de ne pas réussir à adopter une hygiène de vie absolument parfaite… et inatteignable. Ce serait d’une rigidité inhumaine ! Et culpabiliser de ne pas y arriver, ça ne ferait que rajouter du stress…
Restons bienveillants envers nous-même 💜

Je te souhaite de faire de ton mieux sans pression 💜
Avec Amour,
Fanny

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