Ceci est une newsletter illustrée, envoyée à mes abonné·es le 18 mars 2025.

Environ une à deux fois par semaine, j’envoie par email mon meilleur contenu avec des outils pratiques et des partages personnels pour accueillir ses émotions, apaiser ses peurs et retrouver plus de sérénité et d’amour en soi – et toujours avec les petits bonhommes !
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Mise en garde : dans cette newsletter, on va parler de cancer et de peur de la mort. (Je te rassure, je vais changer de thème dans les prochaines newsletters.)
Dans la newsletter précédente, j’expliquais que j’ai eu un cancer.
Quand on pense au cancer, difficile de ne pas penser à la mort tellement les deux idées sont associées.
Difficile d’échapper à la forme-pensée collective, à « l’égrégore » du cancer, sauf à faire un travail de conscience spécifique.
C’est une énergie pesante, qui nous appuie sur les épaules, qui nous alourdit, qui nous fait courber l’échine, et qui nous démoralise… (du moins c’est ainsi que je la perçois).

Ça a donc été très important pour ma santé mentale de me détacher de cette énergie et de retrouver un peu de légèreté. J’avais besoin de respirer !
Entre autres séances avec des thérapeutes, je me suis donc octroyé une auto-séance sur la peur de la mort.
L’idée n’est bien sûr pas d’éradiquer cette peur définitivement, mais déjà de ne plus avoir cette sorte d’angoisse sourde qui serre la poitrine au quotidien.

À titre d’exemple, voici les éléments que j’ai libérés (avec l’aide de mes guides) au cours de cette séance :
- Des mémoires de vies antérieures (je perçois généralement l’émotion à libérer sans avoir de détails sur la vie ou les vies en question) :
- « la peur de mourir »
- « la peur que tout soit fini »
- « la peur qu’il n’y ait rien après la mort ».
- Une mémoire transgénérationnelle en lien avec ma lignée maternelle : « la peur de mourir » (là aussi je libère sans plus de précision).
- La forme-pensées collective : « on meurt du cancer du rein ».
À noter : les éléments qui ressortent au cours d’une séance de libération émotionnelle & énergétique sont spécifique à chacun·e. On ne peut donc pas généraliser !
Après cette auto-séance, je me suis sentie beaucoup mieux. Ça a été un vrai soulagement ! J’ai eu la chance de n’avoir besoin que d’une séance (en plus des séances avec d’autres thérapeutes, mais qui n’était pas centrées sur ce sujet en particulier).

L’autre chose qui m’a aidée et m’aide toujours est de me concentrer sur la VIE. Entre les examens, le mieux que je peux faire, c’est de vivre, au présent.
La créativité est une très bonne chose pour rester connectée à la vie en soi. J’ai fait de la broderie avec des perles, j’ai ressorti mes pastels secs et j’ai dessiné… et je n’ai rien terminé. C’est l’acte de créer qui compte ici, pas le résultat.

Vivre, pour moi, c’est aussi et surtout passer du temps avec les gens que j’aime. Faire un jeu de société avec mon mari, aller au restaurant (j’adore manger haha), jardiner ensemble…
Les repas de famille m’aident énormément à garder le moral. Des repas de famille « normaux », où on parle de tout et de rien, où on rit, où on est simplement ensemble à passer un bon moment (et où on mange trop, mais ça, c’est un autre sujet). J’ai la chance d’avoir une famille et une belle-famille formidables, où tout le monde s’entend bien.

Faire du sport m’aide aussi à me sentir vivante. Même si je ne peux faire que de petites séances, ça me permet de sentir mon corps en mouvement, sentir mes muscles qui travaillent… et me sentir bien incarnée dans cette vie !
Je te souhaite de vivre joyeusement 💜
Avec Amour,
Fanny

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One thought on “Cette peur qui me plombait”